Plusieurs partenariats avec des industriels, tels que MICHELIN, IFPEN et L’OREAL, sont en cours. Des doctorants encadrés par des chercheurs du LCP travaillent sur les projets associés.
La culture de valorisation des recherches du LCP se traduit par des dépôts de brevets et de logiciels réguliers, des licences d’exploitation.
Des start-ups émanant du LCP ont vu le jour. Par exemple, un appareil (NanoIR) développé au LCP est commercialisé par la société Anasys Instruments, basée à Santa-Barbara (Californie), avec un partenariat du LCP.
Une quinzaine de brevets ou extensions de brevets ont été déposés entre 2008 et 2012 avec extension à l’Europe ou à l’international. On peut aussi citer le contrat de licence d’exploitation avec la société Materials Design qui commercialise le code GIBBS, développé dans le groupe ThéoSim en collaboration avec l’IFPEN.
Les travail de valorisation du LCP est régulièrement récompensé. Dans un passé récent, le développement de la plateforme de spectroscopie TeraHerz du LCP a été récompensé par le premier Prix de la Valorisation 2012 de l’Université Paris-Sud, ainsi que le Prix d’Instrumentation 2013 de la division de Chimie Physique de la Société Française de Chimie.
