Ce travail a été effectué par des physiciens et chimistes de l’Université Paris-Sud*, du CNRS, du Ministère de la culture et de la communication, de l’École polytechnique et de l’Université Pierre et Marie Curie. L’invasivité minimale et la rapidité de cette méthode permettent d’envisager le diagnostic sans contact ni prélèvement de grandes collections ainsi que le suivi régulier d’œuvres fragiles.
Ces résultats obtenus sur des parchemins historiques dans le cadre d’une collaboration pluridisciplinaire sont publiés dans la revue Scientific Reports du 19 mai 2016 et ont fait l’objet d’un Communiqué de presse dans le Journal du CNRS.
*Les chercheurs du Laboratoire de chimie-physique (CNRS/Université Paris-Sud) Ariane Deniset-Besseau et Alexandre Dazzi.