Grâce à une nouvelle technique de nanospectroscopie infrarouge développée au Laboratoire de chimie physique * (CNRS/Université Paris-Sud), les chercheurs ont pu analyser la structure du biopolymère synthétisé par la bactérie, directement à l’intérieur de celle-ci. Ils ont découvert que dans la bactérie, les polymères étaient principalement amorphes – donc ni rigides ni cassants -, et que c’est au moment de l’extraction et de la purification que le biopolymère devenait beaucoup plus cristallin, donc rigide et inutilisable comme film plastique… Ces travaux ont été publiés Analytical and Bioanalytical Chemistry. Lire le communiqué de l’INC
* Alexandre Dazzi