Des chercheurs du Laboratoire de chimie physique (CNRS/Université Paris-Sud d’Orsay)* en collaboration avec des chercheurs de l’Université de Liège viennent de mettre au point une méthode qui permet de s’affranchir des biais d’auto-absorption lumineuse des sondes fluorescentes. Ce travail, généralisable à tout type de sonde fluorescente nanocristalline ou (bio)moléculaire utilisé dans les processus de reconnaissance biologique in vivo et in vitro, fait l’objet d’un article de la collection thématique des « Hot Articles 2017 » et de la quatrième de couverture de la revue Physical Chemistry Chemical Physics.
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* Christophe Humbert, Thomas Noblet